Or le Gouvernement s’emploie à nier leur place en imposant un accès sous prescription médicale qui pénalise le public, en limitant leur indépendance technique et en conditionnant leur exercice clinique. Depuis plusieurs mois émane du Gouvernement une succession de rapports et réglementations qui, sous couvert de préoccupation humaniste pour la santé mentale de nos concitoyens, dénigrent chaque fois davantage les psychologues et menacent de plus en plus
leurs pratiques